commentaire : | Plan initialement plié, encadré (noyé ?) par de très important blocs de textes.
En haut à gauche : un indicateur de rues. En bas à droite, la liste des églises (avec un historique détaillé) , des hôpitaux et des cimetières. En haut centré à la liste des Palais et hôtels. En haut à droite, un long historique en huit chapitre de la capitale. En dessous, se trouve la liste des musées. En bas à droite, la liste des prisons, ponts, fontaines, places publiques, halles et marchés.
Le plan est dans un cadre. Le titre est réparti en deux cartouches situés, en haut, de part et d’autre. En bas, centrées, se trouvent les échelles graphiques en mètres et toises. A d’autres angles, apparaissent de petits blocs de texte avec la continuation de la légende.
Le relief des alentours de la ville est représenté en dégradé de traits.
La ville est représentée dans la limite de l’enceinte des Fermiers Généraux avec une partie des communes limitrophes. Au sud, le plan forme un décroché en escalier vers le sud pour englober Gentilly.
Le plan est carroyé en abscisses et en ordonnées (cellules de 5 sur 5 cm, le J est manquant) axé sur l’Observatoire, la méridienne et sa perpendiculaire sont figurées.
L’enceinte des Fermiers généraux est rehaussées de rose. A l’extérieur de la ville, certains champs sont figurés et le bâti est en noir. A l’intérieur de la ville, les îlots sont laissés libres mais ombrés. Les monuments et édifices publics sont en noirs. Les espaces verts sont en à plat verts.
L’enceinte antique est en jaune, les murailles médiévales en violet, vert et rouge, celle des fossés jaunes en bleu. Entre celle ci et l’enceinte des Fermier Généraux, une limite en jaune est énigmatique. Au delà , dans la campagne, un tracé bastionné, discontinu, l’est tout autant. |