Plans de Paris du XIXe et XXe siècle.

Les Plans de Paris du XIXe et XXe siècle

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le plan

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créateurs du plan

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source et localisation

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longévité, copie et filiation

longévité : début	- fin
durée de vie :
filiation :
copie :
reprise :
possession :	1

Urbanisme
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Date supposée :

Date publication :

Plan de Paris.

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commentaire :

Vers 1895. Tracé des lignes de métro en rouge, avec stations dénommées. Section de lignes en pointillé : Souterrain. Section de lignes en rouge plein : Tranchée. Section de lignes en double trait rouge : Viaduc. Gros point rouge : Station. Ce plan représente l’une des étapes de la définition du réseau du « chemin de fer métropolitain » présenté par les Conseil de Paris, en opposition avec les autres projets présentés par les grandes compagnies de chemin de fer. Globalement c’est le schéma qui a été retenu, avec quelques modifications. On note cependant qu’aucune ligne n’est clairement individualisée, même si les raccordements techniques son figurés. De plus certains tracés sont peus clairs, comme dans la région à l’ouest de la gare de Lyon. Le schéma est ainsi organisé. - Une grande ligne circulaire par les boulevards des Fermier Généraux. La division entre les lignes 2, 5 et 6 n’est pas matérialisée. - Deux lignes correspondant à la croisée de Paris. Une est-ouest correspondant à la ligne 1. Une nord-sud correspondant à la ligne 4. - Deux lignes complémentaires. Une rive droite orientée est-ouest, correspondant à la ligne 3. Une nord-sud, plutôt vers l’est, correspondant à la ligne 5. On note que ces lignes ne vont au delà de l’ancienne enceinte des Fermiers Généraux que dans les quatre extrémité de la croisée de Paris et à Ménilmontant Si la plupart des tracés ont été respectés, on note qu’à la demande du Conseil de Paris, la future ligne 4 a été ensuite déviée par la place Saint-Michel et la Cité, et plus au sud par la Gare Montparnasse. De même on notera un curieux tracé en viaduc par le quai de la Rapée, dont on a du mal à percevoir la manière de figurer dans le réseau. D’une manière générale, on remarque que ce réseau est probablement pertinent du point de vue géographie humaine, mais ignore totalement la gestion des lignes en matière de circulation. Au point de vue technique. La localisation des sections en viaduc a été respectée, sauf à côté du Bassin de l’Arsenal et du Boulevard Richard-Lenoir. Enfin on notera une ultime bizarrerie : celle des section en tranchée, à la manière de la Petite Ceinture, option qui a vite été corrigée par le Conseil Municipal. Touts les projets de tranchée ont été remplacés par des tunnels. Les noms des stations sont, dans l’ensemble, ceux qui ont été retenus dans le premier schéma de 1899, sauf, par exemple, « rue de Meaux » devenue « Combat » (Colonel-Fabien), « rue Dutot » devenue « rue de Vaugirard » puis « Pasteur », « rue de Turbigo » devenu « Arts-et-Métiers », « Rue Jeanne-d’Arc » devenu « Campo-Formio », etc. D’autres stations n’ont pas été réalisées : « Rue de Sambre-et-Meuse », « Collège Chaptal ».

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