| commentaire : | Plan initialement plié avec table des rues.
Titre en haut, hors cadre sur toute la largeur.
En bas, hors cadre : à gauche le graveur, au centre le vendeur (l’éditeur ?), à gauche le lithographe.
La table des rues est disposée autour du plan en escalier, à gauche, en dessous et à droite. En bas centrée, la liste des théâtres. Plus à droite, la légende des percements.
Le cadre de la représentation correspond strictement à l’enceinte de Thiers mais avec le bois de Boulogne. Les communes annexées sont très déformées.
Le plan est carroyé,en abscisses et en ordonnées (le I est manquant), non axé sur l’Observatoire (cellules de 7 sur 6 cm).
Les anciens arrondissements, et seulement eux, sont numérotés en chiffres arabes et rehaussés par des à plat de couleurs (quatre tons). Le nom des communes annexées est en toutes lettres.
A l’extérieur de l’enceinte des Fermiers Généraux, les îlots sont laissés libres sans ombrage tandis que les parties construites sont en hachures et ombrées. A l’intérieur de l’enceinte, tous les îlots sont en hachures et ombrés.
Les édifices publics sont en à plats noirs. Les monuments sont représentés en perpective, en général de face. En banlieue, certains monuments et forts détachés sont représentés de la même façon, ils ne sont pas à leurs emplacements réels mais rapprochés de Paris.
L’enceinte de Thiers est représentée en double traits, fin et épais. Le talus extérieur est rehaussé de vert.
Les espaces verts sont en trame arborée ou laissés vides. Le bois de Boulogne est rehaussé de vert. Les lignes de chemin de fer sont en triple traits (deux fins et un épais).
Des percements sont mentionnés : en bleu ceux en cours, en rose, ceux projetés.
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