commentaire : | Plan initialement plié, avec table des rues.
En bas à droite, hors cadre, l’imprimeur.
Le titre est sur l’épaisseur du cadre, sur deux lignes, centré en haut et en bas du plan .
La table est disposée en haut à gauche et en haut à droite, de part et d’autre du plan, en escalier et sur toute la hauteur sur deux colonnes. En bas à gauche, la liste des arrondissements.
Le cadre de la représentation comprend la ville dans les limites de l’enceinte de Thiers, avec l’amorce des communes limitrophes et la presque totalité de la boucle occidentale (au sud de celle-ci la Seine est en pointillé dans la table). Les forts détachés sont représentés, les distances avec l’enceinte et le murs des Fermiers Généraux sont mentionnées. Ces, ouvrages, tous alignés au sud, ne sont pas à leur emplacements réels. Les communes annexées sont déformées.
Le plan est carroyé, en abscisses et en ordonnées, axé sur l’Observatoire (cellules de 7,9 sur 7,9 cm).
Les limites d’arrondissements sont rehaussées de couleurs (quatre tons) et numérotés en chiffres romains rehaussés de rouge. Les quartiers sont numérotés, en chiffres arabes mais non délimités.
A l’extérieur de l’enceinte de Fermiers Généraux, les îlots sont laissés vides et sans ombrage, les bâtiments sont hachurés et ombrés. A l’intérieur de la ville, tous les îlots sont hachurés et ombrés. Les édifices publics sont en à plat noirs. Les monuments, y compris en banlieue, sont représentés par des vignettes les montrant en perspective, soit vue de haut, soit vue de face.
L’enceinte de Thiers est représentée en double trait, fin et épais, le fossé est rehaussé de bistre et le talus extérieur de vert. Les forts sont figuré de la même façon sauf que le noyau central est rouge. L’enceinte des Fermiers Généraux est rehaussée de rose, elle est figurée en trait fin avec le détail des barrières.
Les lignes de chemins de fers sont rehaussés d’ocre, les trains sont dessinés.
Les espaces verts sont en trames arborées. Les arbres sont mentionnés sur les boulevards. |